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Famille Swaton : une passation de pouvoir en mode apaisé
"Notre père Jean-Yves, ne nous a jamais demandé de le rejoindre mais quand nous avons décidé de revenir dans l'entreprise familiale pour travailler à ses côtés il nous a intégrés dans une grande relation de confiance" indique Bertrand Swaton, co-dirigeant avec son frère aîné Nicolas et sa sœur Marie-Eva du groupe Eurosud Swaton, cabinet de courtage en assurance au socle historique plus que centenaire. Leur arrière grand-père Gaston a lancé l'activité en 1918, leur grand-père Maurice l'a développé ensuite (en association avec son beau frère Maxime Swaton).
Quand Jean-Yves Swaton fonde Eurosud Assurances en 1971, l'entreprise franchit les échelons jusqu'à atteindre la 20e place du courtage français avec plus de 100 collaborateurs. Une réorganisation liée à l'un des associés le conduit à reprendre tout en mains en 1996, la holding familiale Swaton SAS naît et ses enfants vont chacun y apporter leur énergie, leurs convictions et leurs personnalités. "En créant une société avec conseil de surveillance et directoire, notre père a procédé à un acte de gestion fort : nous rendre maîtres des moyens de paiement et de la direction de l'entreprise. Il souhaitait une présidence tournante entre nous trois, mais elle n'a pas été nécessaire tant nous partageons tout" pour suit-il. "Toutes les décisions se prennent à trois, on se consulte, si deux sur trois sont pour, on avance !" renchérit Nicolas, soulignant que leur père observe toujours leurs parcours avec "beaucoup de bienveillance". [...]"
Quand Jean-Yves Swaton fonde Eurosud Assurances en 1971, l'entreprise franchit les échelons jusqu'à atteindre la 20e place du courtage français avec plus de 100 collaborateurs. Une réorganisation liée à l'un des associés le conduit à reprendre tout en mains en 1996, la holding familiale Swaton SAS naît et ses enfants vont chacun y apporter leur énergie, leurs convictions et leurs personnalités. "En créant une société avec conseil de surveillance et directoire, notre père a procédé à un acte de gestion fort : nous rendre maîtres des moyens de paiement et de la direction de l'entreprise. Il souhaitait une présidence tournante entre nous trois, mais elle n'a pas été nécessaire tant nous partageons tout" pour suit-il. "Toutes les décisions se prennent à trois, on se consulte, si deux sur trois sont pour, on avance !" renchérit Nicolas, soulignant que leur père observe toujours leurs parcours avec "beaucoup de bienveillance". [...]"
